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 Ca avance ...  
Suite de l'aventure GéNéRiQ...

La journée de dimanche était vraiment bien. Chris Garneau pour une ouverture (très) en douceur, puis les Moriarty.

Vraiment pas déçu par ce groupe. A tous les points de vue. Le concert correspondait à ce à quoi je m'attendais. Concert mis en scène, avec un décor et une ambiance début du siècle. Musique chaleureuse, le fan de blues que je suis s'est retrouvé dans ce répertoire savamment personnalisé. Et puis quel plaisir de rencontrer un vrai groupe, uni, complice, drôle. Et sympa. Pas de grosse tête parmi eux, ils ont su préserver leur gentillesse et leur disponibilité. (une vidéo de leur passage à Taratata).

J'ai retrouvé avec plaisir parmi eux Vincent Talpeart, batteur des excellents Bo Weavil, groupe que j'ai croisé à de multiples reprises sur la route des festivals blues.

The Do ensuite, tant attendus.
Conditions de photos très difficiles : 3 premiers morceaux uniquement, lumières impossibles, et pieds de micro à gogo devant eux. Bref, je ne pense pas avoir de photo réellement potable d'eux. Pas grave, cela fait partie du truc.
Réellement fatigué au moment de ce concert, j'en suis parti avant la fin, n'étant plus réceptif à l'écoute de musique. Dommage, une prochaine fois sans doutes :))

Je m'accorde un petit break depuis lundi, je ne retourne sur le festival que jeudi, pour la dernière ligne droite. Le traitement des photos avance petit à petit, je viens de terminer la série de Vive la Fête. Je mettrai l'ensemble en ligne une fois que tout sera terminé.
En attendant, ci-dessous une petite photo d'avant concert de Rosemary, chanteuse des Moriarty, et une de Els, chanteuse de Vive la Fête.

Rosemary (Moriarty) avant le concert, Dijon - mars 2008
photo non libre de droits

Vive la Fête, Dijon - mars 2008
photo non libre de droits


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 GéNéRiQ, la suite ... 
Poursuite du festival GéNéRiQ sur Dijon. La fatigue commence à se faire sentir (heures de couché tardives... et ce réveil qui s'obstine à sonner le matin !) mais les bonnes découvertes se succèdent.

J'ai vraiment aimé André Williams vendredi soir, accompagné par les Californiens Flash Express. Assez bluesy, même si très rock, en tous cas je me suis vraiment retrouvé dans ce concert : mélange de l'énergie des Flash Express et de la folie de Williams (pote de Ike Turner, 71 ans quand même !).

Hier samedi, j'ai raté les Japonais de Polysics, à mon grand regret : j'étais chez mes parents pour une fondue savoyarde, l'appel du ventre sera toujours le plus fort ! :))

J'ai découvert par contre les Belges de Vive la Fête. Leur nom me fait penser à un disque de Patrick Sébastien, mais le concert m'a vraiment marqué : une sorte de pop-électro très efficace. Les musiciens ont tous le look de Robert Smith des Cure, mais la chanteuse dénote : blonde uniquement vétue sur scène d'un body et de bas résilles, elle possède une présence ainsi qu'un doux charisme tout à fait marquants. Niveau photo c'est, bien sûr, du pain béni :))

Pas grand chose à dire concernant Olivia Ruiz au Grand Théâtre. Interdiction totale de prise d'images (même pour les caméras de reportage du festival), j'étais le seul photographe autorisé, sur les 3 premiers morceaux bien sûr. Et puis son concert (certes à destination des enfants) ne m'aura absolument pas marqué. Mais les enfants étaient, eux, tous ravis, tant mieux :))

Par contre, mon nouveau boitier D200, que j'ai pu tester lors de tous ces concerts, ne m'aura pas convaincu. Plusieurs caractéristiques font que, finalement, je préfère garder mon bon vieux D70. J'ai donc un D200 à vendre... :))
Je sais que c'est paradoxal de préférer un des plus vieux réflex numériques à un boitier beaucoup plus récent, plus puissant et plus évolué, mais c'est comme ça :))

Je vais essayer de traiter quelques séries photos cet après-midi (pour l'instant j'accumule pas mal et ne traite que très peu...), mais à 18 heures rebelotte : Chris Garneau en ouverture, puis Moriarty suivi de The Do. J'attends (comme beaucoup de monde d'ailleurs), ces 2 concerts avec impatience... :))

André Williams, Dijon - février 2008
photo non libre de droits


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 Buck 65 
En ce moment je fais des photos de concerts tous les jours. En effet, le festival GéNéRiQ se tient pour 2 semaines sur plusieurs villes du grand est de la France, dont Dijon.

Ce festival est pour moi l'occasion d'aller photographier dans des lieux dans lesquels je n'ai pas l'habitude d'aller, comme le Grand Théâtre, l'Athénéum... mais également de découvrir des artistes que je ne connais absolument pas (mais vu l'engouement qu'ils suscitent lors de leurs passages, je m'aperçois que je suis bien le seul...!)

Mercredi soir c'était le Canadien Buck 65 qui se produisait à l'heure de l'apéro dans une galerie d'art contemporain dijonnaise.

C'est un artiste qui se réclame de plusieurs influences (il cite même le blues de Skip James !), mais que l'on peut qualifier de hip-hop. Seul en scène, uniquement équipé d'un ordinateur portable, d'une platine vinyle ainsi que d'un micro, il m'est apparut un peu à contre-courant des clichés du hip-hop que je pouvais avoir auparavant.

Personnage discret, presque pas sûr de lui, il possède ce côté attachant des gens un peu "sur le fil", tangents...
Musicalement c'est très mélodieux, parfois drôle, et puis pas vraiment de "gros son" : la voix est juste reprise pour être audible sur la musique.

Bref, un super set !

Buck 65, Dijon - février 2008
photo non libre de droits


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 Arno, sans les mains 
Hier soir 5 février, le chanteur Arno était à Dijon.

La salle était pleine à craquer, le concert était complet. Je l'avais déjà photographié il y a quelques mois lors du festival du Chien à Plumes de Villegusien.

Hier, après avoir un peu hésité, j'ai finalement décidé d'y aller cette fois sans mon appareil photo, en simple spectateur, les mains dans les poches, histoire de profiter pleinement du concert, sans avoir la tête ailleurs. Dommage, car les lumières étaient intéressantes. Enfin, il faut faire des choix :))

Le concert, issu de la même tournée, était quasiment identique, au calembour près.

Mais j'avoue avoir à nouveau, six mois plus tard, pris un sacré pied, même si je connaissais le spectacle. Un concert très à l'image du bonhomme : sur le fil, tangent, bourru, mais aussi à fleur de peau, parfois écorché.
Démarré très rock, tribal, puis quelques ballades, pour finalement se terminer sur des valses, le tout avec l'accent d'Ostende, en bord de Mer du Nord, avec ses moules-frites, ses crevettes grises.

Et puis comme le dit l'artiste lui-même : "on est moches, mais on s'en fout, on s'amuse".

voir les photos du Chien à Plumes
Arno, Villegusien - août 2007
photo non libre de droits


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 Luke, groupe de scène  
Samedi 15 décembre dernier, le groupe bordelais Luke passait par Dijon.
J'aime leurs 2 derniers albums : j'ai beaucoup écouté La Tête en Arrière, et je découvre Les Enfants de Saturne, qui me plait déjà beaucoup.

Bien sûr, on sent, tout comme chez Eiffel, cet autre goupe bordelais de rock français que j'adore, une énorme influence de Noir Désir. Mais qui s'en plaindra :))
Et tout comme Eiffel, ils semblent avoir également hérité de Noir Dez ce goût de la scène. Car Luke est, à mon humble avis, avant tout un groupe de scène.
Leurs morceaux sont bien, mais ils prennent toute leur dimension sur scène, comme si ils avaient été écrits pour être joués en live.

Car le groupe mené par Thomas Boulard ne ménage pas ses efforts une fois sur les planches, ne se contentant pas d'une simple interprétation. J'avoue avoir pris un sacré pied à ce concert, très bonne assise rythmique, et puis des musiciens ayant une réelle envie de jouer et prenant un plaisir non dissimulé à le faire. On peut ne pas aimer leur répertoire (ce n'est pas mon cas), mais il faut leur reconnaitre cette incroyable qualité de prestation scénique.

Niveau photo par contre, ce fût, une nouvelle fois, difficile. Beaucoup de contre-jours, de stroboscopes, et des musiciens quasiment pas éclairés de face, voir pas éclairés du tout.
J'ai donc tout fait au 30mm ouvert au maxi à f:1.4, de façon à avoir un maximum de luminosité, et en meme temps de pouvoir cadrer large, incluant ainsi dans mes cadrages des éléments du public déchainé.
De plus, là où j'étais placé (il n'y a pas de fosse séparant le public de la scène à La Vapeur, je ne peux donc pas me déplacer à ma guise), j'étais gêné par le pied de micro du guitariste, beaucoup plus petit que le chanteur, et qui me barrait ainsi mon champ.

Par contre, ce fût l'occasion de tester ma nouvelle courroie "hand strap" : elle se fixe sous et sur le boitier de façon à pouvoir tenir l'appareil au poignet, et pas forcément autour du cou. Essai concluant, même si rien ne remplacera, au niveau sécurité de l'appareil, la courroie autour du cou. Heureusement, j'ai réussi à fixer les 2 sur le même point d'attache, de façon à pouvoir me servir de l'une comme de l'autre.

voir la série photo musique divers 39
Luke, Dijon - décembre 2007
photo non libre de droits


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